Le dernier des
3 messages codés en 1942 avec la machine Enigma à
4 rotors que le projet Enigma@home
tentait de déchiffrer n'a pas pu l'être. Il
reste cependant toujours une petite possibilité de
déchiffrer ce message en examinant
manuellement les meilleurs résultats. A plus long
terme d'autres solutions sont envisagées, notamment de
développer une application pour cartes graphiques qui
permettrait d'examiner davantage de possibilités (l'ensemble
des calculs nécessaires durerait plusieurs
décennies avec la puissance cumulée des
processeurs classiques sur le projet).
Après une courte pause, le projet a repris depuis quelques jours. Il s'agit cette fois de déchiffrer des messages chiffrés en 1941 avec la machine Enigma à 3 rotors et qui n'ont encore jamais pu être décryptés. Les calculs débutent avec un message chiffré le 3 juillet 1941 (message n°87 sur cryptocellar.web.cern.ch), une communication succincte de 55 lettres dont 4 vers la fin du message qui n'ont pas pu être interceptées (ou retranscrites) par les services de renseignements alliés :
Après une courte pause, le projet a repris depuis quelques jours. Il s'agit cette fois de déchiffrer des messages chiffrés en 1941 avec la machine Enigma à 3 rotors et qui n'ont encore jamais pu être décryptés. Les calculs débutent avec un message chiffré le 3 juillet 1941 (message n°87 sur cryptocellar.web.cern.ch), une communication succincte de 55 lettres dont 4 vers la fin du message qui n'ont pas pu être interceptées (ou retranscrites) par les services de renseignements alliés :
KLJBO YNGZO WCIRE SGVEV KFGCN XDTLI KINLB OYL-N TNYBD -NWK- A-UVVLes unités de calculs envoyées sont regroupées sous le nom "yngzo50" et durent environ 50 minutes sur un processeur Q6600 à 2,4 Ghz (la barre d'avancement ne fonctionne pas encore très bien). L'espace des possibilités est beaucoup plus restreint en comparaison avec les messages codés avec Enigma M4.