Depuis
quelques mois, le projet de modélisation de
l'épidémie de paludisme est entré
dans un nouveau cycle. Le projet a reçu un
financement sur deux ans de la part de la fondation Bill et Melinda
Gates. Le nouveau cycle de calcul se concentrera sur plusieurs
situations spécifiques :
- Le calcul de nouveaux modèles simulant l'acquisition de l'immunité naturelle.
- Simuler le développement de la résistance aux médicaments antipaludiques dans une zone où la prise en charge médicale est assurée.
- Simuler un modèle dans lequel le degré d'exposition de la population à la maladie varie beaucoup.
- Simuler l'évolution de l'épidémie de paludisme dans un contexte où la maladie est sur le point d'être annihilée.
Enfin, les scientifiques du projet souhaitent rendre les modélisations plus accessibles au public visé, c'est à dire les décideurs politiques et les personnes qui planifient les plans d'intervention contre le paludisme.
Pour se faire, ils ont noué un partenariat avec le laboratoire de dynamique des réseaux et de modélisation scientifique (NDSSL) à l'institut de bio-informatique de Virginie (Virginia Tech). L'objectif sera de développer un système de soumission de travaux qui donnera aux utilisateurs qualifiés l'opportunité d'utiliser les prévisions du modèle lors de leurs prises de décisions.
Aux cours des derniers mois, les scientifiques du projet se sont concentrés sur le développement de l'application, c'est ce qui explique aussi que le projet ait été moins actif. Le nouveau modèle de simulation codé en C++ sera bientôt lancé en tant qu'application principale. Le code de l'application scientifique est hébergé sur Google Code : http://code.google.com/p/openmalaria/. Pour ceux qui s'y connaissent, n'hésitez pas à jeter un coup d'œil et à contacter Nicolas Maire (message privé) si vous avez des commentaires ou des améliorations à apporter. La nouvelle application devrait être prête d'ici à la fin juin.
L'équipe du projet à l'Institut Tropical Suisse s'est également étoffée de quelques membres. Diggory Hardy, un ingénieur logiciel, a récemment rejoint l'équipe de recherche. Il travaillera principalement sur les prochains développements de l'application scientifique.
L'analyse des résultats des unités calculées l'année dernière a montré qu'il était nécessaire de simuler davantage de scénarios. Le premier groupe d'unité a été généré et envoyé aux utilisateurs, ces unités fonctionnent avec la version stable de l'application scientifique (application Fortran). Ces calculs devraient encore durer quelques semaines.
- Le calcul de nouveaux modèles simulant l'acquisition de l'immunité naturelle.
- Simuler le développement de la résistance aux médicaments antipaludiques dans une zone où la prise en charge médicale est assurée.
- Simuler un modèle dans lequel le degré d'exposition de la population à la maladie varie beaucoup.
- Simuler l'évolution de l'épidémie de paludisme dans un contexte où la maladie est sur le point d'être annihilée.
Enfin, les scientifiques du projet souhaitent rendre les modélisations plus accessibles au public visé, c'est à dire les décideurs politiques et les personnes qui planifient les plans d'intervention contre le paludisme.
Pour se faire, ils ont noué un partenariat avec le laboratoire de dynamique des réseaux et de modélisation scientifique (NDSSL) à l'institut de bio-informatique de Virginie (Virginia Tech). L'objectif sera de développer un système de soumission de travaux qui donnera aux utilisateurs qualifiés l'opportunité d'utiliser les prévisions du modèle lors de leurs prises de décisions.
Aux cours des derniers mois, les scientifiques du projet se sont concentrés sur le développement de l'application, c'est ce qui explique aussi que le projet ait été moins actif. Le nouveau modèle de simulation codé en C++ sera bientôt lancé en tant qu'application principale. Le code de l'application scientifique est hébergé sur Google Code : http://code.google.com/p/openmalaria/. Pour ceux qui s'y connaissent, n'hésitez pas à jeter un coup d'œil et à contacter Nicolas Maire (message privé) si vous avez des commentaires ou des améliorations à apporter. La nouvelle application devrait être prête d'ici à la fin juin.
L'équipe du projet à l'Institut Tropical Suisse s'est également étoffée de quelques membres. Diggory Hardy, un ingénieur logiciel, a récemment rejoint l'équipe de recherche. Il travaillera principalement sur les prochains développements de l'application scientifique.
L'analyse des résultats des unités calculées l'année dernière a montré qu'il était nécessaire de simuler davantage de scénarios. Le premier groupe d'unité a été généré et envoyé aux utilisateurs, ces unités fonctionnent avec la version stable de l'application scientifique (application Fortran). Ces calculs devraient encore durer quelques semaines.
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