La
programmatrice du projet Virtual
Prairie,
Malek Smaoui
(diplomée de l'Ecole Polytechnique de Tunisie et doctorante
à l'Université de Houston) a
développé
une nouvelle application (version
0.09) qui résout en totalité le
problème
d'utilisation intensive de la mémoire vive (l'ancienne
application pouvait utiliser jusqu'à 900 Mo de ram par
unité calculée)
Les nouvelles unités distribuées sont légèrement plus longues (5 minutes 30 sur un Core 2 Quad Q6600) et l'application n'utilise plus que 3,5 Mo de mémoire vive. Il est donc maintenant possible de participer au projet même avec les plus petites configurations.
Pour rappel, Virtual Prairie est un projet commun aux Universités de Rennes 1 et de Houston. Les unités calculées modélisent une prairie virtuelle pour comprendre le comportement et les intéractions des différentes espèces d'une prairie lorsque celle-ci doit faire face à un stress (tonte récurrente, pâturage,...). Les débouchés de cette recherche sont multiples, ils vont de la conception d'une prairie à haute valeur agronomique à la préservation des écosystèmes en passant par l'utilisation des prairies mixtes humides pour produire des biocarburants avec un rendement supérieur aux agro-carburants issus du maïs ou du soja.
Les responsables du projet sont Marc Garbey, un ancien élève des Universités de Lyon 1, de Grenoble et de l'Ecole centrale de Lyon et actuellement maître de conférence à l'Université de Houston (voir son CV) et Cendrine Mony, maître de conférence à l'Université de Rennes 1.
Les nouvelles unités distribuées sont légèrement plus longues (5 minutes 30 sur un Core 2 Quad Q6600) et l'application n'utilise plus que 3,5 Mo de mémoire vive. Il est donc maintenant possible de participer au projet même avec les plus petites configurations.
Pour rappel, Virtual Prairie est un projet commun aux Universités de Rennes 1 et de Houston. Les unités calculées modélisent une prairie virtuelle pour comprendre le comportement et les intéractions des différentes espèces d'une prairie lorsque celle-ci doit faire face à un stress (tonte récurrente, pâturage,...). Les débouchés de cette recherche sont multiples, ils vont de la conception d'une prairie à haute valeur agronomique à la préservation des écosystèmes en passant par l'utilisation des prairies mixtes humides pour produire des biocarburants avec un rendement supérieur aux agro-carburants issus du maïs ou du soja.
Les responsables du projet sont Marc Garbey, un ancien élève des Universités de Lyon 1, de Grenoble et de l'Ecole centrale de Lyon et actuellement maître de conférence à l'Université de Houston (voir son CV) et Cendrine Mony, maître de conférence à l'Université de Rennes 1.