Comme vous en avez
probablement tous entendu parler dans les principaux
médias, un incident a provoqué une fuite
d'hélium dans le système de refroidissement
des aimants dipolaires supraconducteurs du Grand Collisionneur de
Hadrons (Large
Hadron Collider, LHC).
Cette panne se traduira par un
arrêt de plusieurs mois de
l'accélérateur de particule, le temps de faire
les réparations.
Il s'agit d'un malheureux incident, qui n'est toutefois pas totalement surprenant. Avec une machine de cette complexité, il était prévisible de rencontrer quelques soucis au démarrage.
Comme l'explique Lyn Evans, le chef du projet LHC, "le LHC est son propre prototype". Le plus regrettable est que cela prenne tant de temps pour réchauffer les aimants, effectuer les réparations, puis les refroidir à nouveau.
En dépis de ce revers, les calculs continueront sur LHC@home. Premièrement pour aider à assurer un fonctionnement de la machine aussi correct que possible une fois les réparations effectuées, puis dans un seconde temps, commencer les recherches pour les futures mises à niveau de la machine, prévues dans quelques années. Aussi, votre contribution reste toujours très appréciable!
Merci,
Neasan O'Neill (Administrateur du projet LHC@home à l'Université Queen Mary de Londres)
Il s'agit d'un malheureux incident, qui n'est toutefois pas totalement surprenant. Avec une machine de cette complexité, il était prévisible de rencontrer quelques soucis au démarrage.
Comme l'explique Lyn Evans, le chef du projet LHC, "le LHC est son propre prototype". Le plus regrettable est que cela prenne tant de temps pour réchauffer les aimants, effectuer les réparations, puis les refroidir à nouveau.
En dépis de ce revers, les calculs continueront sur LHC@home. Premièrement pour aider à assurer un fonctionnement de la machine aussi correct que possible une fois les réparations effectuées, puis dans un seconde temps, commencer les recherches pour les futures mises à niveau de la machine, prévues dans quelques années. Aussi, votre contribution reste toujours très appréciable!
Merci,
Neasan O'Neill (Administrateur du projet LHC@home à l'Université Queen Mary de Londres)
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